BONJOUR


De plus en plus, on voit des enfants qui vont de maquis en maquis ou de restaurant en restaurant, qui pour vendre du lotus, qui pour vendre des fruits et autres. La plupart d’entre eux, on le sait, sont des élèves en vacances, qui, par ces petits boulots, entendent soutenir leurs parents. Cela n’a rien de mauvais. Sauf que ces enfants prennent parfois des risques inconsidérés si fait qu’on les rencontre à des heures indues de la nuit. Dans une ville comme Ouagadougou où l’insécurité prend des proportions inquiétantes, il y a lieu d’en appeler à la responsabilité des parents.

 

Valérie YAMEOGO/TIANHOUN


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