BONJOUR
Nul ne conteste le rôle important que jouent ces jeunes volontaires souvent regroupés en associations dans la régulation de la circulation routière à Ouaga. Toutefois, on constate que certains d’entre eux ont développé une sorte de mendicité qui ne dit pas son nom. Si fait que même là où les feux tricolores fonctionnent, on les voit arrêtés en train de solliciter la contribution financière des passants. Voyez-vous ? Comme le disait l’autre, « il n’y a rien de si grand dont la malignité humaine ne puisse en abuser ».
Fidèle KOSSIAMBO