BONJOUR


On voit des femmes installées aux abords des grandes voies, qui vendent  qui à manger,  qui des fruits, etc. Ce qui n’a rien de mauvais en soi d’autant que ces dernières se débrouillent, à leur manière, pour répondre à leurs besoins existentiels. Seulement, le constat est que certaines d’entre elles, se soucient de leurs enfants comme d’une guigne. Si fait qu’elles les laissent trainer sur la voie publique avec tous les risques que cela comporte. Voyez-vous ? Aucune réussite sociale, dit-on, ne doit s’obtenir au péril de la vie de nos enfants qui ont besoin de protection.

 

Anyi YELE


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