BONJOUR


On en parle, mais le phénomène a toujours pignon sur rue. En effet, il s’agit des maquis ou boîtes de nuit qui, la nuit tombée, jouent la musique à fond, dégageant ainsi des décibels qui indisposent les populations riveraines. Certes, les services compétents, sur dénonciation, ont sévi dans certains cas. Mais les nuisances sonores, il y en a toujours dans la ville de Ouagadougou ; certains maquis se permettant de prendre des libertés avec la réglementation en vigueur. D’où la nécessité de rappeler les uns et les autres à l’ordre.

 

Didédoua Franck ZINGUE


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