BONJOUR
La fête de la Tabaski provoque toujours une forte spéculation autour du prix du mouton. Cette fois-ci encore, certains commerçants ont placé la barre tellement haut qu’ils ont eu de la peine à écouler leurs béliers. Le jour de la fête, ils se sont alors retrouvés avec beaucoup d’animaux et presque pas de clients. Au regard des charges liées à l’entretien d’un troupeau de moutons, en termes de nourriture par exemple, certains commerçants ont presque bradé les béliers à quelques heures de la grande prière. D’autres, les moins chanceux, ont été contraints de retourner chez eux avec les leurs. Comme le dit l’adage, « à vouloir trop gagner on perd souvent».
Thierry Sami SOU