BONJOUR
Nous sommes à l’orée de la rentrée scolaire 2016-2017. Au même moment, nous assistons à plusieurs rencontres entre les promoteurs des établissements privés et le ministère en charge de l’Education nationale et de l’alphabétisation (MENA). Rencontres qui ont pour but de trouver les voies et moyens pour régler la dette de l’Etat aux établissements privés du Burkina Faso. Il faut espérer que cette dette sera réglée le plus tôt possible pour qu’elle ne soit pas un goulot d’étranglement pour la bonne marche des établissements privés. Surtout, qu’elle ne sera pas un prétexte, pour certains chefs d’établissements privés, pour ne pas rémunérer les enseignants. Ce qui pourrait, à la longue, contribuer à perturber les cours et donc, l’année scolaire. Ce scénario, les élèves n’en ont pas du tout besoin. Alors, que les petits plats soient mis dans les grands, pour régler le problème afin qu’il n’impacte pas négativement l’année scolaire 2016-2017.
Françoise DEMBELE
Traoré
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Moi personnellement je suis déçu du système éducatif et j’espère que sa ira dans les années à venir. Regarder comment dans un pays de droit où nos encadreur pédagogique prône le courage et l’abnégation dans nos études et lorsque c’est le cas ses mêmes personnes vous prennent pour cible. Je ne vais jamais oublié ce que la direction qui s’occupe du baccalauréat mon fait cette année session 2016. Courage aux futur candidats.
15 septembre 2016