BONJOUR
Il est inconcevable que, de nos jours, certains Burkinabè, au mépris de leur vie, achètent des produits avariés dans les boutiques et alimentations, ou même vendus dans la rue. Ils achètent une boîte de yaourt ou de sardine, un paquet de biscuit, de la viande avariée ou, pire, du poisson impropre à la consommation, sans même prendre la précaution de regarder l’étiquette portant la date de péremption. Or, un simple geste de précaution, en jetant un coup d’œil sur la date de péremption, peut sauver la vie. Dans ce monde d’aujourd’hui, il ne faut surtout pas compter sur l’honnêteté des commerçants.
Françoise DEMBELE