BONJOUR
Destinés à des réalisations sociales au profit des populations, les espaces verts situés au cœur des quartiers sont souvent transformés en débits de boisson. Chaque soir, ils sont occupés par des gérants de maquis. La nature a horreur du vide, dit-on. Si la mairie ne fait rien, il en sera toujours ainsi. Adieu les terrains de sport, les hôpitaux, les bibliothèques et les écoles et vive les maquis !
Issa SIGUIRE