BONJOUR
Le vendredi dernier, dès l’annonce des attentats contre l’ambassade de France et l’état-major général des armées, c’était le branle-bas à Ouagadougou. Chacun tentait de sauver sa peau si fait que cela a créé de monstres embouteillages par endroits quand cela n’a pas occasionné des blessés. C’est le lieu donc d’appeler les uns et les autres à plus de sang-froid. Certes, on comprend l’instinct de survie qui nous anime tous. Mais il faut savoir parfois raison garder, au risque de se faire plus de mal en voulant se sauver.
Boundi OUOBA