HomeA la uneVIE DU JOURNAL : Le SIG décline sa nouvelle vision aux Editions « Le Pays »

VIE DU JOURNAL : Le SIG décline sa nouvelle vision aux Editions « Le Pays »


 

Une délégation du Service d’information du gouvernement (SIG), conduite par son coordonnateur, Félix Kambiré, a rendu une visite de courtoisie aux Editions « Le Pays », le mardi 25 septembre 2018. Au menu de celle-ci au cours de laquelle elle a été reçue par le Fondateur, Boureïma Jérémie Sigué, le Directeur général et ses collaborateurs, il a été question de l’amélioration des relations de travail et de bien d’autres sujets.

« Une visite de courtoisie et une occasion pour mettre en route un partenariat entre les Editions « Le Pays » et le Service d’information du gouvernement (SIG) », a déclaré Félix Kambiré, coordonnateur du SIG, à sa sortie d’audience avec Boureïma Jérémie Sigué, Fondateur des Editions « Le Pays », le 25 septembre dernier. Et de justifier ce déplacement par le fait qu’une année après son arrivée au SIG, un point a été fait sur les relations avec les médias. C’est dans ce sens, relève Félix Kambiré, que la décision a été prise de rendre visite aux partenaires que sont les médias pour magnifier le travail qu’ils abattent et améliorer les relations de travail. Pour ce qui est du partenariat, le coordonnateur confie que le SIG est en pleine réforme avant d’évoquer le mix communicationnel pour lequel, dit-il, il faut un certain nombre d’acteurs que sont les médias publics et privés. Dans le cadre de cette réforme, il est prévu une politique de renforcement de la communication gouvernementale, des relations avec les populations, de la visibilité des actions du gouvernement. Pour le coordonnateur, Félix Kambiré, il y a un déficit de communication lorsqu’un gouvernement travaille en posant des actions qui ne sont pas connues des populations. Il faut également évoquer l’aspect organisationnel avec l’ancrage institutionnel du SIG afin qu’il puisse disposer de plus de ressources pour lui permettre de remplir convenablement ses missions.  Et déjà, pour jouer pleinement son rôle, le SIG compte quatre départements que sont, celui de la communication internationale qui s’occupe des relations avec les institutions, la presse, les partenaires extérieurs, les agences ou correspondants de presse internationale ; la division communication et production qui est chargée de faire toutes les productions pour rendre visible l’action du gouvernement. En plus, Félix Kambiré cite le département données et web- diffusion qui gère tout ce qui est diffusions et publications et le département rapports et rédaction qui s’intéresse exclusivement à la rédaction des comptes rendus du Conseil des ministres, des communiqués ou décisions officielles. Boureïma Jérémie Sigué, Fondateur des Editions « Le Pays », a remercié ses hôtes d’avoir eu cette initiative tout en soulignant que c’est un honneur fait au journal. Il a apprécié la démarche du SIG qui, dit-il, va dans le sens du renforcement des relations au bénéfice des populations. Boureïma Jérémie Sigué a saisi l’opportunité pour solliciter l’aide du SIG pour un plaidoyer auprès des autorités gouvernementales
sur la question des factures impayées des organes de presse, qui reste un souci permanent. Autre sujet des préoccupations, Beldh’or Cheick Sigué, Directeur général des Editions « Le Pays », a évoqué certains retards dans la réception des comptes rendus du Conseil des ministres. Des propos soutenus par le rédacteur en chef, Drissa Traoré. Et le coordonnateur du SIG, Félix Kambiré, de donner certaines raisons de ces retards dont, entre autres, la validation des nominations, l’aspect correction du document pour minimiser les fautes, tout en soulignant que des mesures sont prises pour aller un peu plus vite. Les deux parties n’ont pas manqué de relever la richesse de ces échanges en espérant qu’ils vont donner un nouvel élan à leurs relations. Pour cette visite, Félix Kambiré était accompagné de Estelle Alizéta Barry, chef de division communication internationale et Youssouphou Ouédraogo, chef de division médias et relations publiques.

Antoine BATTIONO


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