BONJOUR


L’insécurité liée au terrorisme a jeté beaucoup de personnes notamment des femmes et des enfants, dans la rue. A Ouagadougou, par exemple, on les voit, jour et nuit, au niveau des feux tricolores en train de mendier pour survivre. Le constat est qu’il y a parfois des dérapages. Car, par-moments, on voit des mômes arrêtés sur la chaussée, implorant la mansuétude des passants, oubliant qu’ils s’exposent ainsi à de graves risques d’accidents de la circulation. Voyez-vous ? Comme on aime à le dire, la vie ne vaut rien mais rien aussi ne vaut la vie.

 

Didèdoua Franck ZINGUE


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