HomeDroit dans les yeux (Page 28)

Un durcissement en phase avec les idéaux de l’éducation L’Assemblée nationale vient de toiletter le Code pénal en vigueur au Burkina Faso. Outre la suppression de la peine de mort qui y a été adoptée, et

Un acte hautement pédagogique ! Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a tenu sa troisième session, du 14 au 21 mai 2018. A cette occasion, il a examiné douze dossiers inscrits à son ordre du jour.

Seuls compteront les résultats ! Le Conseil de défense et de sécurité nationale a tenu sa première session ordinaire. C’était le jeudi 17 mai dernier, à Ouagadougou. La rencontre était présidée par le président du Faso. Celui-ci

Un acte qui s’apparente à de la provocation Le gouvernement burkinabè vient de décider de l’acquisition de véhicules au profit des ministres et des responsables d’institutions. Au total, il s’agit de 35 berlines, 19 V8 et

 2020 est déjà là ! Le Conseil des ministres, en sa séance du 2 mai 2018, a décidé, entre autres, de la délocalisation de la tenue de ses séances. Selon l’Exécutif, cette initiative « permettra au gouvernement, en

L’Etat doit siffler la fin de la récréation Alors que le calendrier officiel prévoit la fin de l’année scolaire en début juin prochain, de nombreux établissements d’enseignement privés ont déjà mis la clé sous le paillasson.

Revendiquer c’est bien, mais… « Le syndicalisme, tel que nous l’avons connu, n’est pas seulement axé sur les revendications ». Ces propos sont du Secrétaire général de la Confédération syndicale burkinabè (CSB), Guy Olivier Ouédraogo. C’était à l’issue

Le Burkina Faso, c’est un pays essentiellement agricole. Cette définition, tous les scolaires du pays l’ont mémorisée. Ils savent également par cœur que cette agriculture, largement pratiquée par les populations, a un caractère arriéré. De

L’actualité nationale est marquée, ces derniers temps, par la mise en place, entre autres, d’une « police islamique » à Pouytenga. En effet, l’association Nachroul du mouvement sunnite de Pouytenga, a organisé, le 20 mars dernier, sur

Tel un prophète, l’artiste burkinabè, Jumas Sandwidi, avait dit, à propos de la corruption et de la mal-gouvernance ambiantes qui sévissaient dans le pays  à l’époque de Blaise Compaoré ceci : « Ouvrez les yeux, Monsieur le

Décidément, le Burkina a mal à la SONABEL, voire à sa politique en matière d’énergie. En effet, depuis pratiquement dix ans, voire plus, les Burkinabè souffrent dans leur chair de délestages, surtout en période de

Quatre jours après les attaques terroristes qui ont visé l’Etat-major général des armées et l’ambassade de France à Ouagadougou, les autorités judiciaires sont sorties de leur silence. En effet, au cours d’un point de presse