REVELATIONS :

Ouaga 2000 : les parcelles non mises en valeur  seront retirées

 

Ceci est un communiqué du Directeur général de la SONATUR, Soabou Diallo : « Le Directeur général de la Société nationale d’aménagement des terrains urbains (SONATUR), rappelle à tous les attributaires des parcelles non encore mises en valeur du site A de Ouaga 2000, dont le délai de mise en valeur est expiré, qu’ils ont jusqu’au 31 décembre 2018 pour le faire, faute de quoi ils se verront appliquer les procédures de retrait desdites parcelles conformément aux  textes en vigueur ».

 Hadj 2018: le premier vol retour des pèlerins burkinabè prévu pour le 8 septembre

 L’information émane du service de communication du Hadj 2018 : Selon le programme communiqué par les compagnies Air Burkina et Flynas, le premier vol retour est prévu pour le 8 septembre prochain. Il s’agit d’un Boeing 787 de 268 places affrété par Air Burkina, qui quitte à 19h05mn,  heure locale, pour atterrir à Ouagadougou dans la nuit du 8 au 9 septembre à 1h35 T.U.

 Sam’s K le Jah sur la persistance des attaques au Burkina : « Organisons-nous pour la défense et la protection de notre chère Patrie »

 Ceci est un « appel » posté par Sam’s K le Jah :

« Burkina Faso, 2019, 2020…
Les vampires vont intensifier et multiplier leurs attaques.
Préparons-nous. Unissons-nous. Mobilisons-nous. Organisons-nous pour la défense et la protection de notre chère Patrie.

Norbert Zongo nous avait prévenu quand il disait ceci : ” ils sont capables de brûler le pays juste pour chauffer leur café.” Et bien, ces “buveurs de café” dont nous parlait Henri Sebgo feront, s’il faut, usage de toute tactique machiavélique pour tenter d’arracher le pouvoir, revenir aux affaires afin de reprendre leur mafia.

Burkinabè,
Préparons-nous.
Il ne faut pas se le cacher, les jours, les semaines et mois à venir seront difficiles.

2019, 2020, les vampires vont redoubler de méchanceté afin de semer le chaos. Mais ils seront vaincus.
Ils vont utiliser toutes les techniques y compris celle de “la terre brûlée”, mais l’Eternel qui est Juste éteindra leur feu.

Burkinabè,
N’ayons pas peur. Parce que nous l’avons déjà démontré. Oui, nous avons démontré par 2 fois au moins (insurrection d’octobre 2014 et putsch de septembre 2015)  qu’unis, soudés et déterminés, la Victoire est Nôtre.
N’ayons pas peur, parce que ce n’est qu’une autre étape de notre marche glorieuse.
N’ayons pas peur, parce que cette fois-ci, la tête du serpent sera bel et bien coupée et jetée dans le feu de la géhenne.
Ayons confiance en Dieu, en nos ancêtres, en nos FDS, en nous-mêmes.
Mobilisons-nous aux côtés des vaillantes Forces de défense et de sécurité.
Retenons encore qu’unis, soudés et déterminés, nous triompherons.

Camarades,
Victoire, au Peuple
Gloire, au Peuple
Pouvoir, au Peuple
un avenir radieux, au Peuple
La Patrie ou la mort, nous vaincrons.
Merci camarades.

NB:
–Monsieur le président, chef suprême des armées, ne serait-ce qu’une fois, mettez- vous en tenue de combat.

– Leurs petits serpents aux langues fourchues viendront ici démontrer ce qu’ils savent faire le mieux : injures, dénigrements, calomnies, etc., mais restons sereins. Concentrons-nous sur l’essentiel : la victoire du bien sur le mal ».

 Arrestation de Safiatou  Lopez : « refusons d’être des gens qui veulent d’une chose et de son contraire », dixit le Mouvement Citoyen Y’en à marre

 

Les déclarations se succèdent depuis l’arrestation de Safiatou Lopez. Ici, c’est Daouda Kambé  Ouattara, président du Mouvement Citoyen Y’en à marre, qui signe la déclaration !

« Encore une occasion de polémique. Dame Safiatou Lopez, notre camarade de lutte des temps forts de l’insurrection (moment où les tenants du pouvoir étaient nos ennemis jurés), a maille à partir avec la Justice.  Il serait à l’instant (i) hasardeux sinon très imprudent de clamer son innocence. Car « on ne dort pas ensemble », dit un de nos adages populaires. En bon démocrate et en tant que partenaire, le moins que l’on peut souhaiter, c’est que nos inquiétudes ou ce qui se susurre ne se confirme pas par la suite. Pour être franc, l’avènement de cette ère démocratique où suspects ou présumés coupables dans des affaires sont traités comme cela se passe, devrait nous réjouir quand on sait qu’il n’y a pas longtemps, la solution par le mortel était l’ultime option choisie  par le pouvoir (…). Refusons d’être des gens qui veulent d’une chose et de son contraire. Qu’appelions-nous mettre la pression sur la justice ? A quoi faisions-nous allusion lorsqu’on revendiquait à cor et à cri l’indépendance de la Justice ?  Souhaitons, dans les cas à venir (il y en aura, sécurité oblige), que le droit soit dit comme cela a été pour les cas Naim, Kanis, Barry, même Eddie Komboïgo, tranchés ou en attentes ; reconnaître une erreur, autrement dit revenir sur une décision de justice est un acte de grandeur et cet état d’esprit a manqué totalement à ceux qui nous ont gouvernés.  Notre combat, à ce jour, devrait être que rien de regrettable n’arrive dans cet intervalle de temps (comme on en a connu) à notre accusée et comme nous l’avons fait remarquer. Il n’existe pas de raisons de s’alarmer. N’ayons pas la mémoire courte ; qui ne fait pas le constat que depuis que le pouvoir a changé de main il n’y a pas eu de disparition physique ; pas d’assassinats politiques, pas de mort suspecte … à l’image de près de six mille cas recensés par le HCRUN. Même la peine de mort a été levée. Comme dit dans notre déclaration faite lors de l’arrestation du Colonel Denise Auguste Barry et c’est le lieu de nous répéter pour conclure : « … en mettant en garde toute personne qui, de par sa position, aura monté un complot indigne de notre ère (…). Dans le cas contraire, que la loi s’applique et dans toute sa rigueur».  Autant nous disons ‘’nul ne doit être au-dessus de la loi, autant dire que nul ne doit être la victime innocente de l’appareil  judiciaire».