HomeA la uneYACOUBA KINDA, MEMBRE DE L’EQUIPE DE CAMPAGNE D’ADAMA OUEDRAOGO PALM BEACH : « Notre candidat est l’homme qu’il faut à la présidence de la Chambre de commerce »

YACOUBA KINDA, MEMBRE DE L’EQUIPE DE CAMPAGNE D’ADAMA OUEDRAOGO PALM BEACH : « Notre candidat est l’homme qu’il faut à la présidence de la Chambre de commerce »


MAQUETTE JPZ 24/01/2012Le mercredi 30 novembre prochain, les nouveaux élus consulaires seront installés et procéderont, séance tenante, au choix du futur président de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso (CCI-BF). Cette élection historique, première du genre de mémoire de commerçants, est attendue avec impatience dans les états-majors des candidats en lice. A l’hôtel Royal Beach situé sur le pied de l’échangeur de l’Est où l’équipe de campagne d’El Hadj Adama Ouédraogo dit « Adama Palm Beach » a installé son « QG », la sérénité et l’optimisme restent de mise à quelques jours du scrutin. C’est en tout cas ce qu’a affirmé l’un des responsables de la direction de campagne, Yacouba Kinda, lors d’un entretien accordé le vendredi 25 novembre 2016 aux Editions « Le Pays », au nom du candidat Adama Ouédraogo.         

 

Le Pays : Comment se passe la campagne de votre candidat, El Hadj Adama Ouédraogo Palm Beach ?

 

Nous sommes sûrs de nous et nous travaillons pour la réussite d’El Hadj Adama Ouédraogo Palm Beach à la présidence de la Chambre de commerce et d’industrie du Burkina Faso (CCI-BF). Les regroupements qui se font de gauche à droite, sont des histoires, des « fabrications » qui ne font nullement peur. C’est au soir du 30 novembre

que chaque candidat saura le vrai nombre d’élus consulaires qui sont avec lui. Nous, nous sommes sereins. La Chambre de commerce n’est pas une affaire de politique, c’est une affaire de commerce et de commerçants. Il faut connaître les problèmes des commerçants pour pouvoir prendre en compte leurs préoccupations et savoir défendre leurs intérêts auprès du gouvernement. La Chambre de commerce n’est pas non plus une faire de « tu as fait l’école ou pas ». Ce n’est parce que l’on n’a pas fait l’école que l’on ne peut pas être président de la Chambre de commerce. Il suffit d’être tout simplement intelligent. Tu peux avoir fait l’école et, arrivé à la présidence de la CCI-BF, tu ne peux rien faire. Il faut donc que le président de la CCI-BF soit intelligent, intègre et fin stratège. Et notre candidat a bel et bien ce profil. Il a les compétences et les qualités nécessaires pour faire rayonner le commerce dans tous les secteurs d’activités.

 

Pourquoi vous avez-vous décidé de soutenir la candidature d’Adama Palm Beach ?  

 

El Hadj Adama Palm Beach est une personnalité crédible, qui sait écouter tout le monde, sans distinction, en tout temps et en tout lieu. A n’importe quelle heure, on peut le voir. Il reçoit à tout moment alors qu’il y a d’autres qui n’ont jamais le temps pour recevoir des gens de leur famille, n’en parlons pas des autres citoyens. C’est au vu de ces qualités intrinsèques reconnues à El Hadj Adama Ouédraogo que nous avons décidé de soutenir sa candidature pour qu’il puisse travailler au profit de tous les Burkinabè, de tous les acteurs du monde économique (femmes, hommes et vieux). 

 

Quelles sont les atouts dont dispose votre candidat ?

 

El Hadj Adama Ouédraogo a fait la preuve qu’il est un leader rassembleur, pétri de talent et d’expérience dans le management des hommes. Les acteurs du monde économique doivent saisir cette occasion pour profiter de ses multiples expériences en lui confiant leurs voix pour qu’il soit élu président. Il a déjà exercé dans tous les secteurs du commerce, le transport, l’hôtellerie, etc. Dans tous ces domaines, il a investi et fait de grandes réalisations concrètes, visibles. Il est donc un grand bâtisseur, un leader qui peut conduire le commerce et les commerçants à bon port, vers des lendemains meilleurs. Il est donc l’homme qu’il faut à la présidence de la CCI-BF. C’est lui qui est capable de mieux gérer la Chambre de commerce et donner un souffle nouveau à l’économie nationale car, comme on le sait, le secteur économique constitue le poumon de l’économie burkinabè.

 

Quelles sont les ambitions de votre candidat pour les secteurs d’activités liés au commerce ?

 

Notre ambition est de travailler main dans la main avec tous les acteurs pour donner un souffle nouveau à l’économie et apporter notre pierre à la construction du Burkina Faso. Nous comptons rassembler tout le monde et réconcilier tous les commerçants (petits et grands) sans exception, pour la prospérité des affaires, qui profite à tout le monde. El Hadj Adama Ouédraogo est ouvert à tout le monde alors que chez d’autres personnes, c’est un camp fermé. Si tu n’es pas dans le camp, tu ne peux pas rentrer.

 

Certains candidats ont dévoilé le nombre d’élus consulaires dont ils disposent déjà. Qu’en dites-vous ?

 

Cette affirmation est une diffamation. Aucun candidat ne peut savoir, pour l’heure, le nombre d’élus consulaires qui voteront pour lui. La vérité sortira des urnes. Nous n’écoutons pas la propagande. Nous faisons simplement notre travail et nous sommes confiants quant à la victoire de notre candidat au soir du 30 novembre prochain. Si on gagne, Dieu merci. Si on ne gagne pas aussi, Dieu merci. Mais nous sommes sûrs que grâce à Dieu, nous allons gagner. Il y a des gens qui distribuent massivement de l’argent comme des bonbons, mais nous faisons confiance aux élus consulaires parce qu’ils sont responsables et consciencieux.

 

Etes-vous prêt à accepter les résultats qui seront issus du scrutin, quoi qu’il arrive ?

 

Nous sommes d’accord pour accepter les résultats qui seront issus des urnes. Mais il faut que l’élection du 30 novembre soit transparente. Mais s’il y a des magouilles, nous n’allons pas accepter les résultats, nous revendiquerons notre droit dans la légalité. On parle actuellement de cas de fraudes lors des élections du 13 novembre dernier. Cela veut dire que les responsables sont complices. Il faut les écarter et laisser les autres poursuivre la compétition. 

 

Quel message en prélude aux élections de mercredi prochain.  

 

Nous appelons les élus consulaires à voter quelqu’un de dynamique, de sage et de rassembleur, qui peut travailler pour le développement du commerce dans ses différents secteurs d’activités. Et cette personne est bien sûr notre candidat El Hadj Adama Ouédraogo Palm Beach. J’invite tous les conseillers à choisir El Hadj Adama Ouédraogo. Il est la solution. Nous appelons tous les commerçants à ne pas faire la bagarre, car nous sommes tous des Burkinabè. Donc, nous sommes de la même famille. Et nous devons travailler en synergie d’actions pour préserver la paix sociale qui est propice à la fructification et au rayonnement des affaires. El Hadj Adama Ouédraogo est un homme de paix et de dialogue. C’est pour cela que nous le soutenons et nous sommes sûrs que, par la grâce de Dieu, il sera élu président de la CCI-BF.

 

Interview réalisée par Saidou ZOROME (Collaborateur)

 

 


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