HomeA la une25E EDITION DU FESPACO : Le clap d’ouverture donné par le président du Faso

25E EDITION DU FESPACO : Le clap d’ouverture donné par le président du Faso


La 25e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO)  se tient du  25 février au 4 mars 2017 sous le thème : « Formation aux métiers du cinéma et de l’audiovisuel ». La cérémonie d’ouverture a été marquée par des prestations d’artistes-musiciens  du Burkina Faso, du Niger, de la Côte d’Ivoire, un spectacle équestre et une parade de masques.  Elle a eu lieu  au stade Dr  Issoufou Joseph Konombo à Ouagadougou. C’était en présence du président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, du président de l’Assemblée nationale,  Salifou Diallo, du Premier ministre Paul Kaba Thiéba, de deux ministres de la Côte d’Ivoire et de  la  ministre de la Culture du Mali. Pour cette édition, 17 films d’école, 21 séries télévisuelles, 21 documentaires et 26 courts-métrages, 20 longs métrages sont, entre autres, en compétition pour le trophée le plus convoité, l’Etalon d’or de Yennenga. Treize prix spéciaux seront  également décernés par les partenaires.  La succession du Marocain Hicham Ayouch, vainqueur de la 24e édition du FESPACO avec son  film « Fièvre », est donc lancée.

 

 

  

Ils étaient des milliers à prendre d’assaut le stade Dr Issoufou  Joseph Konombo le 25 février 2017 dès le coup de 14h.  Et pour cause, le clap d’ouverture de  la 25e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) devait y avoir lieu, en présence de plusieurs personnalités dont le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, et la star  ivoirienne Alpha Blondy.  Contexte sécuritaire oblige, il fallait passer plusieurs rideaux de fouille pour avoir accès, soit à la cuvette ou encore au gradin du stade.    Une fois à l’intérieur du stade, on oubliait de suite les difficultés traversées, puisque plusieurs artistes-chanteurs traditionnels et modernes se  succédaient sur scène pour distiller de belles mélodies.   On peut citer, entre autres, Awa Sissao, Dicko Fils et Smockey du Burkina, ainsi que le groupe Sogho du Niger.  Mais le plus attendu des artistes  était pour beaucoup Alpha Blondy. Avant son show, d’environ 1h de temps,  plusieurs personnalités    ont annoncé les couleurs de la  fête du cinéma africain.   Il s’agit  du maire de la ville de Ouagadougou, Armand Pierre Beouindé,   du  président du comité d’organisation, Stanislas Méda, du  ministre de la Culture,  des arts et du tourisme, Tahirou Barry, et  du ministre de la Culture et de la Francophonie de la Côte d’Ivoire, pays invité d’honneur,  Maurice Bandama.  Le maire de la ville de Ouagadougou, Armand Pierre Beouindé, tout en souhaitant la bienvenue aux festivaliers venus des quatre coins du monde, a noté que cette édition constitue une opportunité pour relancer le FESPACO.

 

Tahirou Barry en jogging

 

Ouagadougou a été l’un des premiers partenaires du FESPACO dès sa création et continuera de soutenir l’événement, a-t-il ajouté. Quant au  président du comité d’organisation, Stanislas Méda, il a  salué  les efforts fournis par  tous pour faire de la 25e édition du cinéma africain une belle fête du 7e art.  Pour cette édition,  a-t-il dit,  105 films d’une vingtaine de pays d’Afrique et de la diaspora africaine ont été  retenus pour les différentes sections de compétition, notamment en documentaire, long et court métrage, série télévisuelle et films des écoles  africaines de formation. On note 17 films d’école, 21 séries télévisuelles, 21 documentaires, 26 courts-métrages et 20 longs- métrages sont en course pour le trophée le plus convoité, l’Etalon d’or de Yennenga. Treize prix spéciaux seront décernés par les partenaires. En plus de cela, des plateaux artistiques sont prévus tout au long de la semaine pour tenir les festivaliers en haleine.    Parmi ceux qui ont se sont succédé au pupitre pour leurs discours, c’est le ministre  de la Culture, des arts et du tourisme, Tahirou Barry, qui a beaucoup été ovationné. En effet, c’est en courant qu’il  a rejoint le pupitre pour prononcer le discours officiel d’ouverture du FESPACO 2017.

 

Madi  Dermé et ses  40 chevaux

 

Tout en invitant  les festivaliers et les acteurs du cinéma africain à   profiter de leur séjour au pays des Hommes intègres,  le ministre Tahirou Barry a formulé le vœu que cette édition soit celle de la vérité et du sursaut. « Chers festivaliers, ne vous contentez pas de manger des poulets flambés et bicyclettes, et repartir sans rien proposer », a-t-il lancé, avant de saluer la présence du président du Faso à l’ouverture de la biennale,  puisque la dernière présence du président du Faso à la cérémonie d’ouverture du FESPACO remonte en 1999.  Le ministre de la Culture et de la Francophonie de la Côte d’Ivoire a, pour sa part, salué  le choix porté sur son pays comme pays invité d’honneur.  Et la Côte d’Ivoire entend  relever le défi de la mobilisation. Et pour preuve,  il a conduit une délégation de 300 membres dont le ministre de la Fonction publique et de la modernisation de l’administration, Pascal Abinan Kouakou.  Il  a officiellement confirmé  la  présence du président ivoirien,  Alassane Dramane Ouattara, à la cérémonie de clôture de la biennale le 4 mars prochain.  Après cette série d’allocutions, ce fut le tour de Madi Dermé et ses camarades d’offrir un spectacle équestre au public.  40 cavaliers  et  40 chevaux ont été mobilisés par   Madi  Dermé, venu spécialement de Paris pour la circonstance.  C’est après ce spectacle que  le Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, a donné le clap d’ouverture  de  la biennale du cinéma  africain.   C’est aux environs de 18h 30mn que le public a eu droit à ce qu’il attendait le plus, le  show d’Alpha Blondy.

 

Issa SIGUIRE

 

 

 

 

 

 

Le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré

 

«  Le cinéma doit être le vecteur de la consolidation de notre culture africaine »

 

« Je voudrais remercier tous les acteurs du cinéma pour avoir accepté de participer  à cette  25e édition du FESPACO. Je voudrais saluer aussi tous ceux qui ont travaillé pour que le festival ait lieu.  Je voudrais aussi saluer notre  pays invité d’honneur, la Côte d’Ivoire, pour avoir été représenté à la cérémonie d’ouverture par le ministre de la Culture et de la Francophonie,  et qui sera représenté à la clôture  par mon frère et collègue Alassane Dramane Ouattara, qui  nous  fera l’honneur de venir participer à ladite clôture. Le thème du FESPACO de cette année «Formation aux métiers du  cinéma et de l’audiovisuel » est interpellateur. Il s’agit d’engager une discussion pour la refondation du FESPACO.  Le cinéma doit être le vecteur de la consolidation de notre culture africaine.  Nous  ne devons pas  constamment nous laisser inféoder par les cultures des autres. Il nous faut nous aussi, dans le cinéma, traduire les valeurs positives qui font le fondement de la société africaine.  C’est dire  que c’est un sentiment de fierté pour le Burkina. Nous devons nous battre pour que le Burkina Fao reste la capitale du cinéma africain et dans ce sens là,  je voudrais remercier tous nos partenaires qui nous ont soutenus pour le succès de cette 25e édition du FESPACO et leur dire  que le Burkina Faso s’engage à prendre toutes les dispositions pour être  à la hauteur des défis du futur. »

 

Propos recueillis  par Issa SIGUIRE

 

 

 

 

 

Les à-côtés de la cérémonie d’ouverture de la 25e  édition du FESPACO

 

Le stade n’était pas rempli

 

Contrairement aux précédentes éditions du FESPCACO où les cérémonies d’ouverture se tenaient au Stade du 4-Août, c’était le Stade municipal Issoufou Joseph Conombo qui a abrité les festivités d’ouverture de la présente édition. Même moins grand que celui du 4-Août, le stade municipal Issoufou Joseph Conombo n’a pas fait le plein.

Plus de 300 Ivoiriens venus pour ce FESPACO

 

La Côte d’Ivoire, pays voisin et invité d’honneur, est la délégation la plus forte venue au FESPACO, en termes de nombre. Plus de 300 personnes sont venues pour cette grande messe du cinéma africain. Une présence bien ressentie avec une ambiance à l’ivoirienne dans les tribunes.

 

Alpha Blondy a assuré

 

Le « pape » du reggae africain a assuré un show non stop avec son orchestre. Pour preuve, la pelouse et les gradins se sont transformés en piste de danse. Hommes, femmes, enfants, personnes âgées,…, tout le monde a esquissé des pas de danse et repris les refrains des chansons de la méga star ivoirienne, Alpha Blondy.

A noter qu’initialement prévu pour  une 1h 30, le concert d’Alpha Blondy a duré environ une heure.

 

Le dispositif sécuritaire a gêné beaucoup les journalistes dans leur travail

 

Les journalistes qui étaient sur la pelouse du stade ont été constamment dérangés par les agents de sécurité. C’est peu de le dire, tellement l’ambiance entre agents de sécurité et journalistes a été houleuse. Pour preuve, un confrère a été même expulsé du stade.

 

Tahirou Barry sait courir

 

Pour prononcer son discours à la cérémonie d’ouverture, le ministre de la Culture, des arts et du tourisme, Tahirou Barry, qui était assis tout juste à côté du Président du Faso, a donné une preuve qu’il peut, d’une certaine manière, concurrencer les athlètes. De son siège au podium, c’est un jogging qu’il a effectué et cela a bien amusé les festivaliers  qui l’ont applaudi.

 

De la drogue au stade ?

 

Pendant que la méga star ivoirienne Alpha Blondy chantait sur le podium, on sentait l’odeur de la drogue. Y en avait-il parmi les festivaliers qui en consommaient ?  Difficile d’y répondre par l’affirmative, mais certains ont dû quitter les lieux à cause des odeurs.

 

Le Faso Dan Fani au logo du FESPACO

 

Le Président du Faso, les membres du gouvernement, des hauts commis de l’Etat et beaucoup de membres du comité d’organisation étaient habillés en Faso Dan Fani avec le loco du FESPACO en couleur verte. Cela valorise la cotonnade ; belle initiative à saluer.

 

Le Niger n’était pas en reste

 

Le Niger  était représenté musicalement à cette cérémonie d’ouverture du FESPACO par une troupe traditionnelle qui a assuré un show musical exceptionnel. La prestation a été bien appréciée par le public du stade.

 

Rassemblés par Evariste Télesphore NIKIEMA

 

 

 

 

ENCADRE 3

 

COMPETITION OFFICIELLE : FILMS DOCUMENTAIRES

 

– A footnote in ballet history? de Abdel Khalek HISHAM (Egypte)

– Abnegation de Koffi Segla OLOUGBEGNON (Togo)

– Bois d’ébène, Moussa TOURE (Sénégal)

Bons baisers de moruroa de Larbi BENCHIHA (Algérie)

Ceux qui osent de Dieudonné ALAKA (Cameroun)

Citoyens bois d’ébène, Franck SALIN (Guadeloupe)

Cola une noix= mille vertus Seydou COULIBALY (Côte d’Ivoire)

– Coming of age de Teboho EDKINS (Afrique du Sud)

Congo ! le silence des crimes oubliés de Gilbert BALUFU (RD Congo)

– Djambar, Sembène l’insoumis de Eric Mbappe BODOULE SOSSO (Cameroun)

Héritiers du Vietnam de Arlette PACQUIT (Martinique)

Kemtiyu, seex anta (kemtiyu, cheikh anta), Ousmane – William MBAYE (Sénégal)

– L’appel des tambours  de Fidèle KOFI (Côte-d’Ivoire)

– L’arbre sans fruit de Aïcha MACKY (Niger)

– Le réveil de l’éléphant de Souleymane DRABO( (Burkina Faso)

– Les héritiers de la colline de Ousmane SAMASSEKOU (Mali)

– Les hirondelles de l’amour de Jawad RHALIB ( Maroc)

– Okuta, la pierre Ayéman Aymar ESSE (Benin)

– Sosso bala Nissi de Joanny TRAORE (Burkina Faso)

– Uprize ! de Sifiso KHANYILE (Afrique du Sud)

– Yolande ou les blessures du silence de Léandre-Alain BAKER (Congo Brazzaville)

 

 

COMPETITION OFFICIELLE : FILMS DES ECOLES AFRICAINES DE CINEMA

 

  1. A travers les barrières de Matamoura dit Ndiaga FALL – Sup’Imax CHRISTIAN THIAM (Sénégal)
  2. Au nom du père de Hegra DJESSAGA – Ecole Supérieure des Etudes Cinématographiques et de L’audiovisuel (Togo)
  3. DERRIERE L’imaginaire de Hiba CHAARI Ecole Supérieure des Arts Visuels de Marrakech ( Maroc)
  4. Down side up de Peter OWUSU – University of Legon ( Ghana)
  5. Héritage de Fatoumata Tioye COULIBALY – conservatoire des arts et métiers multimédia/BALLA FASSEKE KOUYATE (Mali)
  6. La maladie de la honte de Giovania ATODJINOUZINSOU – Institut Supérieur Des Métiers de l’audiovisuel (Bénin)
  7. La mangrove, une richesse pour le lac aheme de Blandine KPADE – Institut Supérieur des Métiers de l’audiovisuel ( Benin)
  8. Le cacao au féminin Mohamed TOURE Université Félix Houphouët BOIGNY (Côte d’Ivoire)
  9. Le déclin de lahou kpanda Jean Marie Venance SORO Institut arc-en-ciel (Côte d’Ivoire)
  10. Le patriote Jean Marc ANDA Institut Supérieur de Formation Aux Métiers du Cinéma Et de l’audiovisuel de l’Afrique Centrale (Cameroun)
  11. Le peintre Georges Roi TEKOU FONGANLT Institut Supérieur de l’Image et du Son/ Studio Ecole (Burkina Faso)
  12. Le refus DE RABA de Mariam FOFANA – Brico Films (Mali)
  13. Nectar d’un pays de Fidel HOUNHOUEDE – Ecole Nationale des Sciences et Technique de l’information et de la Communication ( Bénin)
  14. Nubuke de Aryee BISMARK – National Film and television Institute (Ghana)
  15. Pater noster de Lambert OUBDA – Institut Imagine (Burkina Faso)
  16. Sira de Serge Augustin KOUA – Institut Polytechnique des Sciences et techniques de la Communication (Côte d’Ivoire)
  17. Terminus de Mamadou Hady DIAWARA – Ecole Supérieure des Arts Visuels de Marrakech – (Maroc)

 

COMPETITION OFFICIELLE : SERIE TELEVISUELLE

 

1 – Aissa – Jean Roke PATOUDEM (Cameroun)

2 – Aphasie –  Hyacinthe HOUNSOU (Côte d’Ivoire)

3 – Bamako la ville aux trois caïmans – Aîda Mady DIALLO ( Mali)

4 – Bibata – Mamadou Maboudou GNANOU (Burkina Faso)

5 –Cauris du sud – Kiel ADANDOGOU (Togo)

6 – Delou – Mahaman SOULEYMANE (Niger)

7-  Deux couples, un foyer – Gbehi Jean Noel BAH (Côte d’Ivoire)

8 – Du’ anaado saaraa – Boubacar SIDIBE (Mali)

9 – Identitaire – Sidgomdé ROAMBA (Burkina Faso)

10 – Intentions secrètes – Bernard YAMEOGO (Burkina Faso)

11 – Jikulumessu – Sergio GRACIANO (Angola)

12 – La guerre des biens – Jean de Dieu TCHEGNEBE  (Cameroun)

13  Lagnon – Emmanuel GOUEU (Côte d’Ivoire)

14 – Le sang de l’albinos – Narcisse SAWADOGO

(Burkina Faso)

15- Les chenapans – Christiane CHABI KAO( Bénin)

16 Les familles et les amis –  Adebowale AJIBULU

(Afrique du Sud)

17 – Péripétie – Rémi ATANGANA (Cameroun)

18 Samba Akwuondoghoh – ENAH JOHNSCOTT (Cameroun)

19 – Soeurs ennemies –  Erico SERY/ Yurandy PEREIRA-SODRE (Côte d’Ivoire)

20 – Ton pied mon pied –  Folligan Steven AMOUZOU (Togo)

21 – Tundu wundu – Abdoulahad WONE (Sénégal)

 

COMPETITION OFFICIELLE : FICTION COURT METRAGE

 

1 – A place for myself de Marie Clémentine DUSABEJAMBO (Rwanda)

2-  Antananarivo tiako ianao de  Haminiaina RATOVOARIVONY (Madagascar)

3 – Ashia de  Françoise ELLONG (Cameroun)

4- Chebet de Antony KOROS (Kenya)

5- Coma de Ghada ALI (Egypte)

6- Daymane tours  de Pepiang TOUFDY (Tchad)

7- Folo, il était une fois … de  Loci Hermann KWENE (Burkina Faso)

8- Gerreta  de Mategaftot  Sileshi SIYOUM (Ethiopie)

9 – Hyménée de Violaine Maryam Blanche BELLET (Maroc)

10 – La face cachée du père Noël  de Laurent PANTALEON La Réunion

11 –La promesse  de Fatou TOURE (Sénégal)

12 –La rue n’est pas ma mère de  Jérôme Nabonswendé YAMEOGO (Burkina Faso)

13- Le chemin de  Mike COFIZ  (Côte d’Ivoire)

14 – Le pantalon rouge  de Hervé DJOSSOU (Bénin)

15 – Le voyage de keltoum  de Anis DJAAD  (Algérie)

16 – Les gros cailloux  de Jean Richard NIYONGABO (Burundi)

17 – Les mains d’or de Samba  de Hawa Aliou N’DIAYE  (Mali)

18 – Lodgers de Keni OGUNLOLA  (Nigeria)

19 – m001  de Franck Adrien Relongouet ONOUVIET (Gabon)

20 – Mbamba  de Nsunzu MICHEE (RD Congo)

21 – Normalium  de Siam MARLEY (Côte d’Ivoire)

22 – Khallina hakka khir  de Mehdi M. BARSAOUI (Tunisie)

23 – Pacte  de Joël M’MAKA (Togo)

24 – Silence de  Amog LEMRA (Congo Brazzaville)

25 – The bicycle man  de Twiggy MATIWANA (Afrique du Sud)

26 – Yaa de  Esi YAMOAH (Ghana)

 

COMPÉTITION OFFICIELLE: FICTION LONG MÉTRAGE

 

– « A mile in my shoes » de Saïd Khallaf (Maroc)

– « Aisha » de Chande Omar (Tanzanie)

– « A la recherche du pouvoir perdu » de Mohammed Ahed Bensouda (Maroc)

– « Félicité » de Alain Formose Gomis (Sénégal)

– « Fre » de Kinfe Banbu (Ethiopie)

– « Frontières » de Appolline Woye Traoré (Burkina Faso)

– « Innocent malgré tout » de Kouamé Jean De Dieu Konan/ Kouamé Mathurin Samuel Codjovi (Côte d’Ivoire)

– « L’interprète » de Olivier Meliche Koné (Côte d’Ivoire)

– « L’orage africain – Un continent sous influence » de Sylvestre Amoussou (Bénin)

– « La forêt du niolo » de Adama Roamba (Burkina Faso)

– « Le gang des antillais » de Jean Claude Barny (Guadeloupe)

– « le puits » de Lotfi Bouchouchi (Algérie)

– « Les tourments » de Sidali Fettar (Algérie)

– « Life point » de Brice Achille (Cameroun)

– « Lilia, une fille tunisienne » de Mohamed Zran (Tunisie)

– « Praising the lord plus one » de Kwaw Paintsil Ansah (Ghana)

– « The lucky specials » de Rea Rangaka (Afrique du Sud)

– « Thom » de Tahirou Tasséré Ouédraogo (Burkina Faso)

– « Wulu » de Daouda Coulibaly (Mali)

– « Zin’naariya ! » de Rahmatou Kéïta (Niger )

 

 

ENCADRE 4

 

Programme des activités du FESPACO 2017

 

Cérémonie officielle d’ouverture,  le 25 février à 16h au stade municipal de Ouagadougou

 

 Veillée d’hommage, le 25 février 2017  à partir de 21h au Ciné Burkina

 

 Cérémonie de libations, le 26 février 2017 à 7h à la Place des cinéastes

 

 Inauguration de la statue de bronze du réalisateur ivoirien Fadika Kramo Lanciné, le 26 février 2017 à 8h à la Place des cinéastes

 

Ouverture du marché du film/MICA, le 26 février à 10h à la salle de conférences de Ouaga 2000

 

 Cérémonie d’ouverture professionnelle, le  26 février 2017 à 16h au ciné Burkina

 

Début des débats-forum,  le 27 février 2017 de 9h à 12h à la salle de conférences de Ouaga 2000

 

 Ouverture du colloque, le 28 février  2017 à 9h au Conseil burkinabè des chargeurs

 

Clôture  du colloque, le 1er mars 2017 à 13h au Conseil burkinabè des chargeurs

 

Cérémonie  de remise des prix spéciaux, le 3 mars 2017 à 17h à la salle des banquets de Ouaga 2000

 

Cérémonie officielle de clôture, le 4 mars 2017 au Palais des sports de Ouaga 2000

 

 Projection du grand prix de l’Etalon d’or de Yennenga à 21h au Ciné Burkina

 

 

 


No Comments

Leave A Comment