BONJOUR
Parti pour légaliser une vingtaine de documents dans un commissariat de police, à Bobo-Dioulasso, un homme s’est entendu dire qu’il n’y a pas d’encre. On lui demande alors d’aller en payer s’il souhaite être servi. Chose qu’il fit, oubliant qu’il n’était pas au bout de ses peines. Puisqu’au retour, aucun policier n’a accepté de prendre […]
Sorry, the comment form is closed at this time.