LA CITE SANS VERTU
Depuis le coup d’Etat du 30 septembre dernier, on voit des hommes politiques et/ou des acteurs de la société civile qui, naguère, ne juraient que par Damiba, commencer à retourner leur veste, guidés qu’ils sont par leur ventre. Cette forme de prostitution politique et/ou intellectuelle, pour ainsi dire, est la preuve que c’est beaucoup moins la conviction qui motive les pas de certains que la recherche d’expédients. C’est à se demander si au Burkina Faso, certains « Hommes intègres » ne sont pas nés avant la honte si fait qu’ils ne la connaissent pas.
Cicéron
A lundi prochain !