IL ETAIT TEMPS
Après quelques instants de brouille et d’incompréhensions, les autorités burkinabè et le Programme alimentaire mondiale (PAM) ont accordé leurs violons. Visiblement, les difficultés ont été aplanies au cours d’une rencontre tenue par les deux parties, le 17 janvier dernier, à Ouagadougou. De quoi apporter du baume au cœur des populations dont on sait qu’elles manquent pratiquement du minimum vital dans les zones à forts défis sécuritaires. Il était vraiment temps !