BONJOUR


Les sévices corporels, on le sait, sont interdits dans les établissements scolaires. Mais certains enseignants s’y adonnent toujours à cœur-joie. Certes, la peur de la chicote, il faut le reconnaître, permet « d’apprivoiser » certains apprenants indélicats. Mais encore faut-il savoir faire les choses dans la mesure et dans la pondération de sorte à éviter des dérapages. Car, très souvent, ce qui passe pour être une simple correction, se mue en une torture ou à de la maltraitance. Et c’est bien là que le bât blesse !

 

Aniyi YEL


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