BONJOUR
En dépit de l’interdiction par les autorité des mariages et autres cérémonies publiques pouvant donner lieu à des regroupements, certains Burkinabè en font à leur tête. Si fait que les week-ends, l’on voit même des cortèges nuptiaux drainant du monde sur les voies publiques. Et ce n’est pas tout. Dans certains quartiers, on voit aussi des jeunes qui passent leur temps à jouer au ballon, comme s’ils oubliaient que le football crée inévitablement des contacts physiques. Voyez-vous? Tout se passe comme si certains Burkinabè n’ont pas encore pris la mesure du péril qui guette l’humanité tout entière.
Issa SIGUIRE