BONJOUR


La scène se déroule dans un quartier de Ouagadougou, dont nous taisons volontairement le nom. Un homme, la cinquantaine bien sonnée, gisant dans une flaque d’eau dans un « six-mètres ». C’était le week-end écoulé, aux environs de 20h. Visiblement, il était saoul au point qu’il ne pouvait pas marcher à plus forte raison rouler avec son vélo. Voyez-vous ? Ça ne fait pas sérieux ! Car s’il est vrai que l’on ne peut empêcher les uns et les autres de consommer l’alcool, force est de reconnaître que  certains exagèrent si fait que l’on se demande, par moments, quelle éducation ils comptent donner à leurs enfants pour qui ils doivent être des modèles.

 

Frédiric TIANHOUN

(Collaborateur)


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