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Depuis que les résultats de la présidentielle ont commencé à tomber à doses homéopathiques, l’on assiste, par endroits, à une poussée de fièvre de la part de militants de certains partis politiques. Si cela paraît pour le moins compréhensible, il y a cependant lieu de rappeler aux uns et aux autres que nul n’a le monopole de la violence et qu’en République, il existe des voies de recours légales pour se faire entendre quand on s’estime lésé.  Toute autre option est périlleuse en ce sens qu’elle peut conduire le pays au chaos.

 

La Rédaction


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