BONJOUR
On en parle mais le phénomène ne fait que prendre de l’ampleur. Il s’agit, en effet, des prix des denrées alimentaires (riz, sorgho, huile, sucre, etc.) de même que des matériaux de construction qui, chaque jour qui passe, grimpent. Tant et si bien qu’il faut craindre une année difficile, surtout quand on sait que nombreuses sont les populations qui, du fait de l’insécurité, ont dû abandonner leurs champs respectifs, pour se réfugier dans des zones clémentes. Les nouvelles autorités gagneraient à prendre, pendant qu’il est temps, toute la mesure de la situation et réagir en conséquence.
Didedoua Franck ZINGUE