BONJOUR


 

En parcourant les artères de n’importe quel quartier de  Ouagadougou, ou n’importe quelle grande ou petite ville de notre pays, on rencontre des rues défoncées, impraticables, des caniveaux bouchés, charriant des eaux nauséabondes où nichent les moustiques et mouches. Et il suffit  juste d’une pluie, un peu forte, pour que ces rues deviennent totalement impraticables. Or, il aurait fallu que les résidents de ces quartiers ou les riverains de ces rues impraticables,   le temps d’un week-end, retroussent leurs  manches. Ce qui n’est pas toujours le cas. Alors qu’il est possible de s’offrir ce cadre de vie sans rien attendre de l’Etat, ni de la mairie… Plutôt que de passer la journée à boire dans les bars et maquis, les jeunes devraient mettre ces vacances scolaires et universitaires à profit pour mobiliser leurs énergies afin de se rendre utiles à leur communauté.

 

Seydou  TRAORE


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