LA CITE SANS VERTU
Des élèves, en l’occurrence des filles, qui profitent de la récréation pour se saouler la gueule. C’est le triste constat qu’avait fait récemment un responsable d’un établissement scolaire de la place dont nous taisons volontairement le nom. Et ce n’est pas tout. Car, dans un autre établissement, un groupe d’élèves, après avoir picolé à fond, a tenté de semer la pagaille avant d’être vite maîtrisé. Voyez-vous ? Plutôt que d’être un lieu où l’on dispense le savoir, l’école burkinabè est devenue un haut lieu de délinquance sous toutes ses formes. Tant et si bien que l’on se demande de quoi sera fait demain. En tout cas, il y a péril en la demeure. Et c’est peu dire
Cicéron
A lundi prochain