BONJOUR


Depuis l’avènement des réseaux sociaux à savoir, entre autres,  facebook, watsapp, Twitter, on constate que certains élèves s’intéressent moins à l’école. Ils sont en effet nombreux ces élèves et même ces étudiants qui,  pendant que les professeurs s’évertuent à leur expliquer les cours, passent leur temps à converser avec leurs amis sur les réseaux sociaux à l’aide de leurs téléphones portables ou tablettes. D’autres passent tout leur temps dans les cyber-café. Pas pour faire des recherches afin de renforcer leurs connaissances, mais pour des discussions instantanées sur les réseaux sociaux avec leurs amis, et pour  regarder des films pornographiques. Vivement que le ministère de l’Education nationale et celui des enseignements secondaire et supérieur prennent des mesures pour enrayer ce fléau.

Yannicl SANKARA


Comments
  • Pour les élèves c’est vraiment une urgence.
    Je ne suis ni ministre ni enseignante mais je fut un élève et les élèves d’aujourdhui font l’avenir de notre pays. Je ne peux rien mais j’aimerais proposer ma petite idée: dans les écoles avant les cours si le prof. pouvait proposer aux élèves possédant un apareil de communication qu’ils les posent sur son bureau avec bien sur une mésure de sécurité, cela pourrait moin troubler le cour; ensuite si
    chaque école pouvait disposer d’un cyber café propre à l’école bien sur ou des cours d’informatique cela pourrait mieu attirer nos petites frères à l’école.

    26 mars 2015
  • Les élèves doivent s’approprier leurs statuts et s’impliquer réellement pour leurs devoirs du moment car ils ont l’avenir devant eux. Il y a déjà des établissements qui sanctionnent sévèrement l’utilisation des portables à l’école, donc ceux qui ne le font pas doivent emboîter le pas, car il y va de l’avenir de notre jeunesse. On n’interdit pas l’utilisation des portables mais pas aux heures des cours. Les parents doivent jouer aussi leur partition quant aux suivis des enfants sur leurs programmes et les résultats scolaires.

    26 mars 2015
  • Tout cela c’est du laisser-faire; on frappe et on retire l’appareil pour des enchères et on contraint l’élève à reprendre l’année. Si j’étais ministre, même le prof peut perdre son emploi à cause de son téléphone.

    31 mars 2015

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