BONJOUR
De plus en plus, on constate la présence de mineures travaillant en qualité de serveuses dans de nombreux maquis de Ouagadougou. Or, l’alcool et les enfants ne font pas bon ménage. Outre cela, ces filles mineures s’exposent à des risques d’agressions parce qu’elles descendent tard dans la nuit. Au regard de ces énormes risques auxquels ces mineures sont exposées, il serait bon que les tenants des débits de boisson évitent de les employer dans leurs maquis. Certes, certains répondront que ce sont elles qui font marcher les maquis. Mais ils doivent savoir qu’ils se livrent à une pratique malsaine et donc condamnable. Les autorités communales devraient ouvrir l’œil et le bon sur certaines pratiques devenues monnaie courante au sein des maquis de la capitale.
Anyi YELE