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Le 5 février dernier, un violent incendie s’est déclaré à Ouaga 2000, du nom de ce quartier huppé de la capitale burkinabè, provoquant de nombreux dégâts matériels. Ce drame qui est loin d’être un cas isolé, doit interpeller plus d’un. Car, très souvent, on voit des édifices publics ou privés qui ne disposent pas d’extincteurs. Quant à ceux qui en disposent, le constat est que les occupants et usagers ne savent pas toujours les utiliser en cas de sinistre. Face à une telle situation, n’y a-t-il pas lieu d’organiser davantage des séances de formation au maniement des extincteurs au profit des populations, afin qu’elles aient le bon reflexe en cas d’incendie ? Cela pourrait contribuer à soulager les sapeurs-pompiers qui, il faut le reconnaître, sont parfois débordés.
Aniyi YELE