BONJOUR  

On se rappelle, il y a quelques années, que les autorités avaient, entre autres, interdit la commercialisation et la consommation des boissons spiritueuses dans notre pays. Une mesure qui avait été saluée à sa juste valeur par bien des Burkinabè. Mais depuis quelque temps, l’on retrouve ces boissons interdites sur la place du marché, alors même qu’elles ont contribué et contribuent toujours à détruire beaucoup de bras valides si elles n’en ont pas envoyé certains ad patres. Les autorités sont donc interpellées. Car, le tout n’est pas de prendre une mesure. Il faut veiller à ce qu’elle soit respectée.

 

Boundi OUOBA