BONJOUR
Si autrefois, les ambulances et les véhicules des sapeurs-pompiers avaient du mal à se frayer un passage en pleine circulation à Ouagadougou, il en va autrement aujourd’hui où l’on sent une prise de conscience chez les Burkinabè. Si fait que dès que ces derniers entendent un cri d’alarme, ils s’arrangent désormais pour faciliter le passage à ces véhicules prioritaires. Toute chose qu’il faut saluer à sa juste valeur. Car, tous autant que nous sommes, sont de potentiels malades qui, d’un moment à l’autre, auront besoin de la sympathie des autres.
Anyi YELE